Arrivée à Pékin hier matin depuis Hong Kong, la délégation des cavaliers suisses affichait une mine splendide, malgré le typhon de la veille vécu à Honk Kong et le retrait houleux de Daniel Etter de l’équipe.
Steve Guerdat: «Individuellement, ce sera difficile. Aux Jeux, les obstacles sont particulièrement hauts. En finale, les barres passent à 1m65, pour 2m00 de largeur parfois. On demande non plus 16 efforts aux montures, mais 18. Un cheval de Coupe des nations n’a pas l’habitude de ça.»
Impassible il y a quatre ans, le Jurassien ne voulait pas entendre parler de l’esprit olympique. Le voilà désormais qui parle «d’émotions, de magie». Un nouvel homme. «A Athènes, j’avais une autre compétition au début des Jeux et la question ne s’est même pas posée. Il y a trois mois encore, lorsqu’on nous a demandé si on voulait participer à la cérémonie d’ouverture. J’ai dit non, avoue le plus jeune de l’équipe. C’était une erreur de ma part. Je ne pensais pas ressentir les émotions que j’ai eues en arrivant au village olympique. Sentir tout un pays derrière soi, c’est gigantesque.»
Copyright photo : Reuters
Steve Guerdat: «Individuellement, ce sera difficile. Aux Jeux, les obstacles sont particulièrement hauts. En finale, les barres passent à 1m65, pour 2m00 de largeur parfois. On demande non plus 16 efforts aux montures, mais 18. Un cheval de Coupe des nations n’a pas l’habitude de ça.»
Impassible il y a quatre ans, le Jurassien ne voulait pas entendre parler de l’esprit olympique. Le voilà désormais qui parle «d’émotions, de magie». Un nouvel homme. «A Athènes, j’avais une autre compétition au début des Jeux et la question ne s’est même pas posée. Il y a trois mois encore, lorsqu’on nous a demandé si on voulait participer à la cérémonie d’ouverture. J’ai dit non, avoue le plus jeune de l’équipe. C’était une erreur de ma part. Je ne pensais pas ressentir les émotions que j’ai eues en arrivant au village olympique. Sentir tout un pays derrière soi, c’est gigantesque.»
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